Du bout de tes doigts, mon corps se fait et se défait. Poussée dans mes derniers retranchement, j'arrive enfin à t'appartenir et à te céder ce que tu crois déjà avoir, que tu penses peut-être te revenir de droit. Il n'y a que dans l'impudeur que je prend ce que tu me refuses, encore et encore. J'ai renoncé sans avoir sincèrement essayé de te faire entrevoir ce qui définit mon existence, ce qui compose ma structure. Tu ne vois que le liquide et le vide sans réussir à capter les nuances et les jeux de lumières qui me font entière.
Je pense pas que ça changera mais j'ai pas envie de lâcher prise tout de suite.
Jeudi 5 juillet 2012 à 23:56
C'est à peu près à ça que ressemble mon copain.
Lundi 2 juillet 2012 à 0:53
Salut.
Je reviens m'exposer derrière les vitrines d'un blog après des mois d'abstinence à cette thérapie si addictive. J'ai vécu avec tous mes blogs une relation débilement intense, presque honteusement charnelle. Je suis passée avec eux par tous les stades d'une relation amoureuse avec toujours la même issue, inévitable et pourtant toujours aussi inattendue pour moi.
Donc, salut. Sinon j'aime les films.
Dimanche 1er juillet 2012 à 23:00